Nom du personnage

FICHE D'IDENTITÉ

Nom: Imagine
Age: 8 ans
Sexe: ♂
Clan: Magellan

CARACTÈRE

Imagine il est tout à la fois, il est compliqué, il est impossible à cerné. D'apparence il est froid, associable, solitaire. Et il l'est un peu, sur les bords. Mais intérieurement il s'adapte à tous, il est très intelligent, réfléchit et malin, mais ne le montre pas ou rarement. Il n'aime pas, ne veut pas montré tout ça. Il refuse de s'attaché aux autres mais ne refuse pas de parlé pour autant. Il est silencieux, discret. Il change de caractère en fonction de ses envies, en fonction des autres. Il est méfiant, analyse tout, tout le monde et tout le temps. Il déteste le mal, et devient protecteur envers quiconque souffre où se fait agresser. Il ne supporte pas l'isolement, mais aime sa solitude, donc il reste prêt des autres sans pour autant vouloir les côtoyer. Il est encore tellement de choses, mais ce ne serait pas drôle de tout savoir.

HISTOIRE

Chaque foulée soulevé un nuage de poussière, qui venait se perdre sur ses membres encore engourdi par les kilomètres qu'ils venaient d'avaler. Son souffle court et calme trancher l'air par un nuage de buée qui s'échappait de ses naseaux, les sens en éveil, les oreilles tourné vers l'arrière, il avançait. Un pas, deux pas, trois pas... La pluie battante le trempait jusqu'aux os sans même qu'il tente la moindre manoeuvre pour s'échapper, les crins dégoulinant, la robe salit par la pluie, le sable, la poussière, il avait eue meilleur aspect.. Avant.

Au jour de ta naissance

La jeune jument baie haletait, allongé sur le flanc elle attendait ce qui allait inévitablement se passer. Serrant les dents elle fit un effort pour se redresser et murmura tout bas à l'intention d'une autre jument qui se trouvait non loin - Si c'est une fille, je la massacre . Une contraction plus forte l'obligea à se rallonger, tandis que l'autre jument l'observait d'un air dépité, elle comprenait bien ce que pouvait ressentir la jeune baie, mais elle ne pourrait jamais rien changer à sa condition.

En à peine cinq minutes la jument fût soulagé, le petit sortit, rompant seul la poche, et elle entreprit de se redressé. Sans même jeté un regard au poulain elle souffla tout bas à l'adresse de son amie - Je t'en prie, dis moi que c'est un mâle . La jeune noire face à elle jeta un coup d'œil au petit être qui impuissant attendait que sa mère le regarde, souriante elle répondit à la jeune maman - C'est un petit mec. Aussitôt le soulagement habita les traits de la baie qui se tourna doucement vers son fils, le sourire aux lèvres.

Vis dans le mensonge, il vaut cent fois mieux que la vérité

Elle n’avait jamais parlé du passé, avait refusé obstinément de dire un traitre mot sur qui était le vrai père du jeune brun. Jamais elle ne prononcé son nom, et s’il abordait le sujet elle l’en détourné en rentrant dans une colère sans nom qu’il préférait évitez.
La jument noire qui l’avait assisté à la naissance du petit, celle là même avec qui elle vivait depuis… L’accident. Oui cette jument là était la seule à connaître l’existence du poulain qu’elle avait vu grandir et devenir le jeune étalon qu’il était à l’heure actuel. Elle était la seule à avoir vécu avec eux, et malgré l’affection qu’elle portait à son amie elle avait parlé.
Quand le jeune mâle c’était tourné vers elle pour poser des questions sur ses origines, sur la raison de leur solitude forcée à trois –alors qu’une vie de troupeau existé il le savait, ils en avaient croisé plus d’une fois, mais à chaque fois les deux juments le forcer à changer de route-. Alors devant le silence de la mère du jeune, devant les questions pertinente de ce dernier, elle avait ouvert la bouche et laissé sortir ses premières paroles.
C’est ainsi qu’il apprit pour l’enlèvement de sa mère, pour les coups qu’elle avait reçu, pour le rôle qu’avait eue la noire dans cette histoire. Et enfin qu’il apprit pour le viol dont il était le fruit. Elle avait regretté ses paroles à l’instant même où elle avait vu le regard du jeune étalon quand il avait sût pour son père, pour ce salaud qui avait violé sa mère. Elle avait vu se succédé dans son regard le choc, la peur, la haine… Pour finir par laisser place à une immense douleur.
Douleur de savoir ce qu’avait vécu sa mère. Douleur, de comprendre qui était son père. Douleur, de se douter que sa mère ne devait pas le porter bien haut dans son cœur vu l’acte duquel il était né.
Il avait passé les jours suivant dans le silence, sa mère ne comprenant pas son mutisme, lui qui ne la voyait plus de la même façon. Un soir que la noire était partie exploré les alentours et que sa mère fatigué c’était assoupi, il se leva, et souffla au creux de ses oreilles « Je suis désolé maman… » Il laissa sa phrase en suspens, qu’avait-il à ajouté ? Il était désolé de tout, aussi bien de ce qu’elle avait vécu, que du viol duquel il était nait. Il s’écarta, soupira doucement et se forçant à ne pas jeter un dernier regard à sa mère, il partit. Et à l’instant où ses jambes l’entrainèrent au galop sa mère ouvrit les yeux et murmura pour elle-même « Je t’aime quand même, mon fils ».

Marche ou crève

Les années suivantes il en avait vécu des choses. Il avait d'abord affronté la solitude, difficilement. La présence de sa mère lui manquait, il lui fallut longtemps pour ne plus y penser. Il apprit à se débrouillé, se défendre, se soigner. Il découvrit des contrés inconnu, des paysages à coupé le souffle. Il fit des bonnes rencontres qui le marquèrent pendant un temps, il en fit des plus mauvaises dont il se tira facilement. Jusqu'au jour où les deux s’entremêlèrent, où il croisa la route de ses quelques étalons qui se croyait sanguinaire, le sourire malsain et sadique aux lèvres il l'avait repéré avant qu'il est eue le temps de déguerpir, il avait vu les meurtres qu'ils venaient de commettre et la jument qu'ils venaient de kidnappé. Il se dégoûta lui-même quand il décida de se conduire comme un lâche, pour évité d'être tué à son tour il fit mine de les félicité et semblant d'être comme eux. Malheureusement son subterfuge fit que les étalons en question lui proposèrent de resté auprès d'eux. Il aurait préférait se défilé mais sans même se comprendre lui-même il accepta leur proposition, et intégra leur bande. Il dût encaisser de les voir tué, violé, pillé.. Il participa à leur entraînement intensif qui visait à les rendre toujours plus fort. Mais une seule raison faisait qu'il restait, le regard vide et douloureux de la jument qu'ils avaient kidnappé lors de sa rencontre. Mais son regard s'illuminait chaque nuit, quand il s'occupait d'elle, quand il lui parlait, quand il l'aidait, et il la voyait sourire, quand il l'aimait. Et une de ses fameuses nuits ils réussirent à s'enfuir, rêvant déjà de la vie qu'ils allaient avoir. Mais ils avaient trop sous-estimé la bande de pillards, qui ne tardèrent pas à les retrouvé. Il combattit pour la sauvé, mais tout bascula rapidement, un mouvement à sa gauche l'interpella et son regard désespéré c'était posé sur le corps de sa bien aimé tandis qu'elle tombait à terre, commençant à se vidé de son sang, il laissa échappé un cri de douleur et la rage coulant dans ses veines il parvint à abattre l'étalon qu'il combattait. Il prit la fuite, referma son coeur, enfouie son âme, et posa par hasard ses sabots sur les terres de HS.

TE CACHES PAS DERRIÈRE TON ÉCRAN

Codes du règlement: [OK Opaline]
PUF: Topaze
Présence: 7/7
Comment as-tu découvert HS? sur GS
Qu'est ce que tu en penses? Il à l'air pas mal, c'est bien pour ça que je me suis inscrite
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